L’opportunité d’un jeu photographique ambiguë entre raison et instinct, entre norme et déviance, entre humanité et animalité, nous rappelle que depuis des siècles, les contes jouent sur la dualité fantasmatique, du « Bien » ou du « Mal », au travers de créatures surnaturelles, comme des crapauds qui se métamorphosent en princes, pour réveiller les belles princesses !